Un texte soutenu par les grandes puissances
Ce projet, appuyé par les membres influents du Conseil, Washington, Paris, Londres, Pékin et Moscou, vient renforcer la légitimité du Royaume et confirmer son leadership régional. En filigrane, il acte également l’isolement croissant du Polisario et de son principal soutien, l’Algérie, sur la scène internationale.
Le texte présenté souligne que « la mise en œuvre d’une véritable autonomie sous souveraineté marocaine représente la solution la plus réaliste », ajoutant que les futures négociations devront se tenir « exclusivement sur la base de la proposition marocaine ». Cette formulation sans équivoque balaie des années de tergiversations diplomatiques et met un terme aux illusions d’un statu quo illusoire.
Le document américain, largement salué au sein du Conseil, va au-delà des habituelles déclarations de principe : il fixe un calendrier précis. Les pourparlers devront reprendre avant la fin de l’année 2025, dans le cadre du format des Tables rondes, et aboutir à un règlement final avant le 31 janvier 2026, date correspondant à la fin du mandat renouvelé de la MINURSO. Cette échéance concrète place désormais Alger et le Polisario face à leurs responsabilités, sous le regard attentif de la communauté internationale.
Aux yeux des observateurs, cette avancée constitue une victoire éclatante du leadership diplomatique de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, dont la constance et la vision stratégique ont transformé la question du Sahara en un consensus national et international. La diplomatie marocaine récolte ici les fruits d’un travail patient et méthodique : alliances solides, crédibilité institutionnelle et cohérence de position.
À l’inverse, le régime algérien apparaît prisonnier de sa propre rhétorique. Persistant dans une politique d’obstruction, Alger mise sur un éventuel veto russe pour freiner la dynamique internationale. Mais cette option s’effrite : les relations entre Alger et Moscou se refroidissent, notamment après les propos du ministre russe des Affaires étrangères évoquant « les frontières artificielles de l’Algérie », une pique qui a résonné comme un désaveu.
Plus que jamais, le Sahara marocain s’impose comme un fait politique et diplomatique acquis. De Washington à Pékin, de Bruxelles à Londres, les capitales reconnaissent la pertinence du plan d’autonomie qualifié par le Conseil de sécurité de « sérieux, crédible et réaliste ». Cette convergence internationale scelle la transformation du dossier saharien : d’une question de litige régional, il devient désormais un pilier de stabilité et de coopération pour tout le Maghreb.
La résolution américaine marque une étape supplémentaire vers ce qui s’annonce comme l’épilogue d’un long combat diplomatique. En combinant fermeté souveraine, constance stratégique et ouverture constructive, le Maroc confirme qu’il avance de manière irréversible vers la reconnaissance universelle de sa souveraineté sur l’ensemble de son Sahara. Une victoire qui n’est pas seulement celle d’une diplomatie, mais celle d’une nation sûre de son droit, fidèle à sa vision et désormais confortée par le monde entier.
Le texte présenté souligne que « la mise en œuvre d’une véritable autonomie sous souveraineté marocaine représente la solution la plus réaliste », ajoutant que les futures négociations devront se tenir « exclusivement sur la base de la proposition marocaine ». Cette formulation sans équivoque balaie des années de tergiversations diplomatiques et met un terme aux illusions d’un statu quo illusoire.
Le document américain, largement salué au sein du Conseil, va au-delà des habituelles déclarations de principe : il fixe un calendrier précis. Les pourparlers devront reprendre avant la fin de l’année 2025, dans le cadre du format des Tables rondes, et aboutir à un règlement final avant le 31 janvier 2026, date correspondant à la fin du mandat renouvelé de la MINURSO. Cette échéance concrète place désormais Alger et le Polisario face à leurs responsabilités, sous le regard attentif de la communauté internationale.
Aux yeux des observateurs, cette avancée constitue une victoire éclatante du leadership diplomatique de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, dont la constance et la vision stratégique ont transformé la question du Sahara en un consensus national et international. La diplomatie marocaine récolte ici les fruits d’un travail patient et méthodique : alliances solides, crédibilité institutionnelle et cohérence de position.
À l’inverse, le régime algérien apparaît prisonnier de sa propre rhétorique. Persistant dans une politique d’obstruction, Alger mise sur un éventuel veto russe pour freiner la dynamique internationale. Mais cette option s’effrite : les relations entre Alger et Moscou se refroidissent, notamment après les propos du ministre russe des Affaires étrangères évoquant « les frontières artificielles de l’Algérie », une pique qui a résonné comme un désaveu.
Plus que jamais, le Sahara marocain s’impose comme un fait politique et diplomatique acquis. De Washington à Pékin, de Bruxelles à Londres, les capitales reconnaissent la pertinence du plan d’autonomie qualifié par le Conseil de sécurité de « sérieux, crédible et réaliste ». Cette convergence internationale scelle la transformation du dossier saharien : d’une question de litige régional, il devient désormais un pilier de stabilité et de coopération pour tout le Maghreb.
La résolution américaine marque une étape supplémentaire vers ce qui s’annonce comme l’épilogue d’un long combat diplomatique. En combinant fermeté souveraine, constance stratégique et ouverture constructive, le Maroc confirme qu’il avance de manière irréversible vers la reconnaissance universelle de sa souveraineté sur l’ensemble de son Sahara. Une victoire qui n’est pas seulement celle d’une diplomatie, mais celle d’une nation sûre de son droit, fidèle à sa vision et désormais confortée par le monde entier.












L'accueil

















